Ni la Russie ni l'Ukraine ne sont des marchés clés pour les armateurs de porte-conteneurs. La situation ne devrait donc ni perturber les taux de fret ni compromettre la demande. En revanche, l’écueil vient d’ailleurs, de la soute, avec des carburants maritimes à des niveaux rarement observés. En plus des taux de fret toujours élevés, les chargeurs vont devoir compter avec des surcharges conséquentes si les armateurs se mettent à multiplier les BAF. 

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